L’Association nationale pour la protection du ciel et de l’environnement nocturnes (ANPCEN) dresse un bilan de l’arrêté d’extinction des vitrines, façades et bureaux.
Sept mois après l'entrée en vigueur de l'arrêté rendant obligatoire l'extinction nocturne des vitrines, façades et bureaux non occupés, l’ANPCEN tire un bilan contrasté de cette mesur. Près de 10 000 communes ont institué selon l’association un arrêt de l’éclairage la nui, cependant « selon les lieux, les résultats sont hétérogènes, des inerties constatées et l’Etat n’est pas toujours celui qui donne l’exemple ». Dans les bons élèves, figurent la ville d’Angers, où la quasi-totalité des vitrines sont éteintes avant 23h00, les villes de Blois (plus de 90% d’extinction de vitrines observée), Saumur et Strasbourg. Des efforts sont à faire à Bourges, où les bâtiments publics restent illuminés en pleine nuit. « Globalement : de vrais progrès et de réelles inerties ».
Pour plus d’informations